Cet article a été rédigé par Enaëlle Lyliessa
Les êtres sans pouvoir sorcier
(Retranscription d'un texte de Merlin)
Durant ma jeunesse il m'a été donné le droit de voir et de noter les habitudes des non sorciers que la communauté commence à nommé Muggels, ou encore sa traduction Moldu, un terme qui pour le moment plaît peu, mais qui d'après mon don de voyance va devenir extrêmement courant d'ici peu.
Bien que nous vivions dans leur monde, et par la même occasion eux dans le notre très peu d'entre eux on réellement conscience de notre différence.
Nous même nous remarquons que les pouvoirs sont principalement une question de descendance, mais pas uniquement, hier encore un enfant s'est découvert des pouvoirs sorciers, hors aucun de ses parents n'en est doué. Les sorciers se demandent comment et pourquoi. Ils ont peur de cet enfant qu'ils ne comprennent pas [...].
Revenons donc au sujet principal les sans pouvoirs, ils vivent de façon assez difficile, ne possédant pas nos pouvoirs ils doivent tout adapté à leur maigre force. Cela les rend terriblement ingénieux. Plutôt que de se reposer sur ce qu'ils ont et abandonner ce qu'ils ne peuvent pas atteindre ils pensent et créent des choses impressionnante d'ingéniosité, et ce bien avant que les sorciers puissent même y penser. Souvent je remarque que nous récupérerons juste leur savoir pour l'adapté à nous.
A ce stade de mon études nous ressemblons à une sorte de sangsue. Puisant dans leur savoir sans jamais réfléchir sans eux.
Leur mode de vie difficile et leur fragilité fait que leur vie est beaucoup moins longue que celle des sorciers, ils ont du mal à ramener assez à manger, vive entassé les uns sur les autres, alors que nous pouvons nous sorcier, agrandir nos maisons de l'intérieur.
Sans toute fois leur donner notre secret nous partageons certain de nos remèdes, des potions, qui leur permettent de vivre plus et mieux, certain moldu assez intelligents sont capables de reproduire les potions les plus basiques, le monde les prends alors pour de grands guérisseurs, et parfois les appellent druides.
D'un coté nous payons notre dette à cette civilisation.
Mes yeux voient la paix entre les sorciers et les non-sorciers mais mon esprit, toujours tourné vers l'avenir ne peut s'empêcher de craindre ce qui va suivre.
Extrait du grand livre de Merlin. Traduit et publier par V. Edgar Déenvie.