Mihael a grandit dans un appartement Haussmannien de Paris, en France. Ce foyer de manquait de rien et surtout pas d'amour de d'éclats de rire. Les pièce de ce petit nid étaient particulière, elles avait la simplicité de décoration des moldu mais le mystère des sorcier. Car oui, tous les murs de cet appartement sans exception étaient tapissé de bibliothèques pleine à craquer jusqu'aux plafond. On y trouvait des livre d'architecture, afin que Mme Soleil puisse s'en inspirer pour son travail, mais aussi des livre de Créatures fantastique, l'Histoire de Beaux-Batons et des contes aussi, De Beedle le Barde au Petit Chaperon rouge. Tous les soirs, quand il rentrait du travail, son père lui racontait une histoire, illustrant ses proses d'effets avec sa baguette. Quand il rentrait trop tard, c'est maman qui racontait, mais avec des petites marionnettes. Mihael était heureuse. Elle allait à l'école des moldus. Elle ne comprit que plus tard que c'était pour la protéger. Or, elle faisait des tours sans se rendre compte et elle était fuit, mais dans sa bulle, rien ne pouvait l'atteindre. Un soir, son père ne rentra pas. Pas du tout. La lumière de l'appartement disparut. Les livre aussi, pour laisser place à des cartons. La petite voix fluette de Mihael demandât toujours « Il rentre quand papa ? ». Et on ne lui répondait que par des « plus tard », d'un revers de la main sous le nez ou sous les yeux. Un jour, elle ouvrit du courrier adressé à sa mère, une vieille lettre comme papa en recevait, scellé à la cire. Elle disait que le Ministère de la magie ne mènerait pas d’enquête sur la mort de Maxime Pierre Arthur Soleil. Les Aurors étant en sous-effectif pour mener à bien une enquête correcte et traquer les début de rebellions mangemort. Elle n'avait pas comprit grand chose, sauf le plus important : que Papa ne rentrerais jamais. Elle prit en maturité dès cet instant, aidant sa mère leur de leur déménagement loin de la ville où elle avait grandit. Elle reçu sa lettre de Poudlar quelque jours après leur arrivées en Angleterre, leur attestant que vu leur nouvelle situation géographique Beaux-Batons se trouvait bien trop loin pour l'enfant. C'est à partir de ce moment que Mihael entra en pleins dans la magie, au chemin de Traverse, elle fut choisie par sa baguette, une magnifique baguette de couleur marron presque rouge sculpté. Elle avait son petit cercle d'amis à la Grande École de Magie, avait des qualités dans certaines matières, des lacunes dans d'autres, comme une élève toute à fait normale. Or quand la guerre dit rage, Mihael ne s'y était pas préparée. Elle ne voulait pas s'occuper des affaires des autres. Elle partait du principe que plus elle s'effacerait, moins on ne ferais attention à elle et moins on lui demanderait de prendre part dans la bataille. Mais dans cette ambiance de constante méfiance, sa mentalité changea. Elle prit conscience de sa valeur de sorcière et se mit à regretter secrètement sa part moldu qui l'avait handicapée pendant tant d'anées. Elle ne voulait plus être la petite sorcière qui amusait sa mère, d'ailleurs elle ne voulait même plus retourner chez les moldus, elle voulait être puissante. Quitte à tout sacrifier pour y parvenir. Quand la guerre fit rage, elle resta dans le chateau, quitte à être ensevellie sous les gravas, au moins elle serait morte en pays magique ! Mais tout cela, elle se gardait bien de le dire. Elle faisait mine de ne pas prendre partie, de n'avoir aucune ambition, aucune envie, aucun désir. Evidemment, aveuglé par son sourire, tout le monde tombait dans le piège.