La guerre est enfin finie. Harry Potter et Lord Voldemort y ont néanmoins laissé la vie. Tout semble être rentré dans l'ordre. Mais est-ce vraiment le cas...?
Feat : Ben BarnesMessages : 955 Points rp : 4223 Identité du Sorcier Age: 21 ans Affiliation: Renard Blanc Métier: Chef des Renards Blancs - Membre du Ministère
Sujet: Fiche de Dorian Alexander Whitesnow || En cours Lun 12 Nov - 21:42
Dorian Alexander Whitesnow
► Âge : 21 ans ► Né le : 21 décembre 1977 ► Né à : Londres ► Maison : Serpentard ► Année d'étude : // ► Metier : Travaille au département de Justice Magique ► Particularité : Métamorphomage - Occlumens apprenant la légilimencie. ► Baguette : Bois de cerisier, 26cm, Poil de kitsune – idéal pour les sortilèges et maléfices ► Avatar : Ben Barnes
Physique
Dorian est le genre de garçon à prendre soin de son physique et ça se voit. Son visage n’est pas spécialement fin, ni même spécialement carré. Son teint n’est ni pâle, ni rougeoyant. On peut le qualifier de « normal », même s’il faut bien l’avouer, il n’est pas aussi normal que ça. En fait, c’est l’ensemble qui fait qu’il est quelqu’un de différent du sorcier moyen que vous rencontreriez dans la rue. Ses cheveux, ses yeux, ses traits, tout est normal. Mais assemblés ensembles, on retrouve un être charismatique et assez beau. Pour ce qui est justement des « détails », Dorian a les cheveux mi-longs, châtains et tombants en cascade sur ses épaules. Déjà petit, il les laissait pousser, pour faire plaisir à sa mère. Et depuis, il le fait toujours, même si elle est décédée. En fait, l’ancien Serpentard s’était dit que finalement, elle n’avait pas tout à fait tort, et qu’ils lui allaient mieux ainsi plutôt que court. Et puis aussi, c’est une manière de rendre hommage à sa défunte maman, se rappeler d’elle. Les yeux de Dorian sont légèrement dessinés en amandes. Ses prunelles brunes se marient avec perfection avec le châtain de ses cheveux. Quand ses yeux vous fixent, vous aurez certainement tendance à croire qu’il épie le fin fond de vos pensées. En réalité, c’est très probablement le cas. Mais nous y reviendrons plus tard. Pour terminer avec au niveau du visage, de légères fossettes se dessinent lorsque ses lèvres s’étirent en un sourire. Mais ceci n’est valable que quand il n’utilise pas son don de métamorphomage. En effet, Dorian change parfois de visage quand il doit partir recruter des personnes pour son groupe. Cependant, une chose ne change jamais : sa taille et son poids. Dorian mesure environs un mètre quatre-vingt pour soixante-huit kilos. Niveau goûts vestimentaires, Dorian aime changer. Il peut s’habiller décontracté, avec un jeans, une paire de basket et un T-shirt blanc, tout comme il peut se vêtir d’un costume / cravate sans problèmes. Mais ses préférences iront tout de même vers un style plutôt orienté vers les années vingt. Une paire de bretelles, des chaussures en cuir parfaitement cirées, un pantalon parfaitement découpé et une chemise blanche. On le verra rarement avec une robe de sorcier : il n’aime guère le fait qu’elles soient amples. En résumé, Dorian est un garçon ayant un goût prononcé pour ce qui est du changement physique. En fait, ça dépend surtout de son humeur.
Caractère
Ce qu’il faut impérativement savoir chez Dorian, c’est qu’il s’agit d’une personne extrêmement rusée, et qu’il aime tout particulièrement manipuler les gens. Surtout quand ça lui est bénéfique. En effet, il ne fera jamais quelque chose par générosité pure –sauf en cas exceptionnel, voir même rare. Personne ne sait d’où il tient cela. En effet, bien que ses parents soient tous les deux de descendance pure et aient été tous les deux à Serpentard durant leur scolarité, ils n’étaient pas manipulateurs. Au contraire, ils vivaient leur petit bonhomme de chemin, mais toujours en gardant leur dignité de sang-pur. Cependant –et Dorian a cette fois hérité de cette particularité- ils ont toujours été très ouvert et n’ont jamais dénigrés les Moldus et autres personnes dites « inférieures ». Dorian pense d’ailleurs que même si on a une ascendance moldue ou qu’on est à Poufsouffle, on peut toujours être utile. C’est pourquoi il ouvre toujours son champ de connaissance à tout le monde. Néanmoins, comme dit plus haut, ce n’est que pour mieux manipuler. Il n’y a que les personnes pour qui il a une grande confiance et qu’il ne manipulera jamais. Mais ces personnes sont vraiment peu nombreuses, il faut bien l’avouer. Dorian adore se faire servir. C’est pour ça aussi qu’il manipule les gens : ça lui servira toujours pour quelque chose, un jour. Et il en est sûr. Toutefois, il faut noter que Dorian ne maltraitera jamais ses fidèles. Il sera du genre à préférer faire les sales besognes si l’un d’eux ne veut pas le faire : après tout, pour être respecté, il faut parfois savoir y mettre du sien, sans pour autant virer dans l’excès. L’ancien Serpentard est égoïste, mais sait tout de même se retenir quand il le faut. Aussi, il ne critiquera jamais le travail de ses deux elfes de maison, qui veulent toujours être au petit soin pour leur Maître. Mais nous parlons principalement du fait que Dorian est un manipulateur, égoïste et calculateur. Cependant, face à « certaines personnes », il sait être gentil et franc. En premier lieu, avec Rigel A. Black. Il se trouve qu’il est même très galant avec elle. Aussi, le brun peut être sensible à d’autres. Parfois, des histoires personnelles le touchent. Il a du coup, tendance à prendre sous son aile ces personnes. Personnes qui rejoindront tout naturellement les Renards Blancs. Dorian n’en a que faire du bien et du mal. Il fera ce qu’il veut, du moment que pour lui, ça a un intérêt. Par exemple, il a participé au combat final de Poudlard car Voldemort était la seule personne pouvant lui faire de l’ombre. Qui plus est, c’était une occasion de se faire connaître. Malheureusement, ce coup ne fut qu’à moitié gagné, vu qu’il n’était pas le seul à se battre sur le champ de bataille. Point positif, il se fit tout de même remarquer en tuant deux Mangemorts. Pour continuer, Dorian n’aime pas qu’on le prenne de haut. C’est pour cela qu’il ne supporte pas le jeune Drago Malefoy, qu’il trouve hautain au possible et ce pour rien. Durant toute sa scolarité, l’envie de lui foutre une paire de baffes ou un sort en pleine face le tiraillait au possible. Et pour terminer sur une touche plus scolaire, Dorian a toujours voulu faire son possible en cours. Il a toujours eu de bonnes notes. Certes, la plupart de ses notes aux BUSEs et aux ASPICs ne sont pas des exceptionnelles. Mais pour d’autres matières comme la Défense Contre les Forces du Mal ou les Sortilèges, Dorian s’est avéré être un élève studieux. En fait, il y a juste l’Histoire de la Magie qui ne le passionnait guère –même si, il le dit lui-même, cette matière est tout de même importante pour la culture générale. Pour ce qui est de son travail, Dorian est un employé modèle à qui on n’a rien à reprocher. D’ailleurs, il gravit les échelons de la hiérarchie petit à petit. En bref, Dorian est un jeune homme avec de bons et mauvais côtés. Mais surtout, il arrive toujours à ses fins…
Notes
Astronomie : E / A Botanique : A / A DCFM : O / E Histoire de la Magie : D Métamorphose : O / O Potions : E / O Sortilèges : O / O Etude des Runes : O / E Arithmancie : A / A
Histoire
Dorian Alexander Whitesnow est né le 21 décembre 1977, à Londres et même plus précisément à l’hôpital des sorciers, Sainte Mangouste. Le petit était très attendu par ses parents, qui avaient tentés plus d’une fois d’avoir un enfant, sans succès. C’est donc avec une joie sans limite qu’ils accueillirent Dorian. A dire vrai, le fait qu’il soit un garçon ne les laissa pas non plus sans joie : il y avait enfin un héritier pour la famille Whitesnow. Si les deux sang-purs choisirent le prénom de Dorian, c’était tout simplement à cause de son étymologie. En effet, « Dorian » a pour principale racine « Doron », qui signifie « Don ». Et ça allait comme un gant au bébé, qui dès sa naissance, montra qu’il avait hérité du don de métamorphomage de sa mère. Comme dit plus haut, Dorian fut choyé toute son enfance –et même adolescence- par ses parents. Il a toujours été traité comme un roi et le rendait parfaitement bien à ses parents. En effet, il a toujours été sage, poli et respectueux envers ses aînés.
Le brun montra dès son plus jeune âge –en plus du fait qu’il soit métamorphomage- un don réel pour la magie : voler –dans le premier sens du terme- dans les escaliers, grimper aux murs tels un super-héros moldu, faire tomber la pluie lors de colères, et bien d’autres encore. Bref, un sorcier avec un sacré potentiel magique, même si certaines personnes diront qu’il ne montrait pas plus sa magie qu’un autre petit sorcier, mais pour les parents de Dorian, c’était juste énorme. Ce fut donc sans surprise qu’à onze ans, Dorian reçut son courrier de Poudlard. La famille Whitesnow prépara avec une grande minutie la rentrée du futur élève en lui offrant le meilleur matériel possible du Chemin de Traverse.
Le premier septembre arrivé, ce fut difficile pour les parents de Dorian de le voir partir dans le Poudlard Express. Mais ce le fut moins pour le garçon, qui se fit rapidement des amis dans le train. Enfin… des « amis ». Déjà à cet âge, le garçon était manipulateur, et voulait absolument faire partie des plus hautes sphères de la société magique. Les enfants sans réelles importances n’étaient pas très utiles. Même si certains se révéleraient par la suite de fidèles alliés. Une fois arrivé à Poudlard, le jeune Dorian attendit avec impatience sa répartition. De par sa curiosité et son intelligence, le garçon aurait très bien pu être réparti à Serdaigle. Cependant, la ruse, le statut et son égocentrisme l’envoyèrent tout droit à Serpentard. Chose qui ne l’étonna guère, vu que sa famille avait été dans cette maison depuis des générations. Peut-être même depuis l’existence même de Poudlard. Mais ça, Dorian n’en avait que faire.
Dès que les cours commencèrent, le jeune serpent se montra doué voir même excellent dans plusieurs matières. A commencer, évidemment, par la métamorphose. Mais aussi la Défense Contre les Forces de Mal et les Sortilèges. Il fallait expliquer cela par le fait que Dorian avait toujours été intrigué par l’histoire de Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom –même si Dorian n’avait vraiment pas peur de l’appeler Lord Voldemort. Dans un certain sens, on pouvait dire qu’il l’admirait. Ou plutôt, qu’il admirait sa grandeur et le fait qu’il ait été craint de tous. Néanmoins, même si il était jeune, Dorian se rendait bien compte que Voldemort agissait avec énormément de cruauté inutile. L’idée de devenir aussi grand et craint que le Mage Noir lui était alors venue à l’esprit. Et au fur et à mesure que les mois passèrent, l’idée se transforma en fait : Oui, Dorian pouvait un jour devenir aussi puissant et redouté que le Grand Lord, mais sans pour autant montrer de la cruauté gratuite. Cette idée aurait pu lui passer, comme chaque enfant à ses idées de grandeur au moins une fois dans sa vie. Mais lui ne douta jamais de ses capacités.
Âgé de deux ans de plus qu’Harry Potter, mais arrivé à Poudlard en septembre 1989, Dorian vit le Survivant arriver alors qu’il était en deuxième année. Il ne comprit pas du tout pourquoi ce petit rachitique était devenu la coqueluche de toute l’école. Cependant, il était bien plus préoccupé par l’envie de surpasser Lord Voldemort. Il nota d’ailleurs dans un coin de sa tête de ne jamais s’attaquer à une famille de trois sorciers, surtout si le gosse était déjà âgé de un an et des poussières. De toute façon, il trouvait ça inutile et stupide de s’attaquer à un enfant.
Enfin soit, le jeune garçon continua son petit bonhomme de chemin, tout en tentant de se faire mieux valoir que Drago Malefoy, satané gamin prétentieux, hautain et se cachant dans les jupes de son père. Mais nous n’allons pas vous décrire toutes les années de scolarité de Dorian. Ce serait en effet une perte de temps, étant donné qu’il ne s’occupait que de lui-même et de créer les « Renard Blancs ». Cependant, à la fin de sa cinquième année, Voldemort fut de retour. Personne ne croyait le vieux Dumbledore et le jeune Potter, sauf quelques personnes… Dorian en faisant partie. Finalement, cette nouvelle ne l’étonnait guère. Le grand Lord était quelqu’un de puissant. Mais maintenant, le jeune Serpentard devait vraiment se bouger pour créer les Renards Blancs.
Une année plus tard, le Seigneur des Ténèbres et ses sbires attaquèrent le Ministère de la Magie. Ce fut à ce moment que le monde sorcier se rendit compte de l’atroce vérité, du retour de Voldemort. Pour une fois depuis qu’il le connaissait –toujours de vue- Dorian compatit quelque peu avec le jeune Potter. Lui aussi détestait qu’on le traite de menteur, alors qu’il disait la vérité. Mais le véritable drame eut lieu durant la septième année d’étude du jeune garçon. Peu après les vacances de Noël, Dorian reçut un courrier de la part de son père, lui annonçant une terrible nouvelle : sa mère était décédée. Elle avait été tuée d’un « Avada Kedavra » par un Mangemort, agissant sous les ordres de son Maître. Cela faisait quelques temps déjà que Voldemort essayait d’embobiner le père de Dorian dans son organisation, de par son haut statut au Ministère de la Magie. Mais ce dernier n’avait jamais capitulé. Pour finir, le Seigneur des Ténèbres était venu des menaces aux actes. Fou de chagrin –et ne voulant absolument pas donner raison au Mage Noir- le père de Dorian avait démissionné sans demander son reste. Il s’était alors reculé dans le fin fond de l’Ecosse. Dorian quant à lui, était resté tout à fait naturel. Cependant, sous ses airs calmes et décontractés, se cachaient en fait une immense rage et envie de se venger. Cette année se termina aussi par l’attaque de Poudlard et la mort du Directeur, Albus Dumbledore. Durant le combat, le jeune homme ne lésina pas sur les sorts contre les Mangemorts. Malheureusement pour lui, le « Grand Lord » était inaccessible.
Même si tout le monde en doutait, les examens finirent tout de même par se passer, dans un sérieux encore plus inhabituel que les années précédentes. Dorian réussit avec des notes tout à fait acceptables, même très bonnes. Il était maintenant prêt à entrer dans la vie active. Depuis longtemps, il avait décidé de postuler au Ministère de la Magie, tout en continuant à monter les « Renards » en parallèle. Il passa donc les examens d’entrée en Ministère, qu’il réussit haut la main, lui donnant une place de choix au Département de la Justice Magique. Certes, étant donné que Voldemort avait mis la main sur le Ministère, ce n’était pas très joyeux pour lui de travailler pour son pire ennemi. Mais au moins, les « Renards Blancs » l’aidaient à garder son calme et son sérieux au travail. Durant toute l’année, Dorian suivit avec grand intérêt l’actualité magique à propos d’Harry Potter. Ce dernier avait disparu, mais semblait à la recherche de certaines choses. Il y eu diverses attaques étranges, comme par exemple, celle de Gringotts. L’ancien Serpentard ne comprenait pas vraiment leur intérêt, mais était certain qu’elles n’étaient pas inutiles.
Finalement, en mai 1998, un grand combat fut annoncé. C’est tout naturellement que Dorian se joignit aux rangs de Poudlard, pour défendre ses intérêts et son ancienne école. Le combat sembla durer une éternité, apogée de la guerre des clans. Les morts, les sorts et la peur étaient omniprésents. Le courage de certains épata même le brun. Mais lorsque l’heure fut tardive, la fin s’annonça : Harry Potter et Lord Voldemort s’étaient entretués. Le reste s’enchaîna rapidement : à l’annonce de la mort de leur Maître, les Mangemorts capitulèrent. D’autres tentèrent de s’échapper, mais furent vite rattrapés par leurs ennemis –dont Dorian. Ce dernier s’acharna même sur le Mangemort qui avait tué sa mère. D’un visage impassible, il l’avait endolorisé pendant plusieurs minutes, dans le parc encore enfouit dans les ténèbres. Il l’avait finalement achevé d’un sortilège de mort. Son premier. Son premier mort. Il avait justifié la légitime défense. Justification qui était bien entendue passée comme une lettre à la poste.
Par après, Dorian avait repris son train-train quotidien : Ministère et Renards. Il s’était installé –ainsi que le QG du groupe, du coup- dans l’ancienne maison familiale, en banlieue londonienne. Et les mois passèrent ainsi, le groupe étant composé de quatre personnes : Dorian, James Urquhart, Alice McGrey et Nathaniël Newline. Il les avait connus à Poudard, sauf Alice, que James avait réussi à recruter.
Mais maintenant, il fallait voir les choses en plus grand. Maintenant, il était temps que les « Renards Blancs » prennent de l’ampleur et soient de plus en plus connus. Car en ce juillet 1999, la rumeur qu’un nouveau groupe était en train de se former était à peine plus perceptible que le murmure du vent venant à peine de se lever…
Test RP
[Bon, un peu comme Gaby, le test RP vient d'ailleurs, mais le caractère du perso reste plus ou moins le même donc... si il y a des choses qui ne concordent pas, c'est normal, mais soit]
Mini-MacKenzy partit en râlant, ayant bien évidemment mal parlé à mon adorable interlocutrice. J'allais lui rendre la monnaie de sa pièce, un jour. Mon éducation m'avait appris à ne jamais être impoli avec ce genre de personne. Et je trouvais normal que ce soit valable pour tout le monde. Donc, cette sale gamine allait devoir payer. Quant à Mademoiselle Black, elle se tourna à nouveau vers moi, prête à continuer la conversation que nous avions dû interrompre. Elle reprit sur le fait que Serpentard était maintenant composé d'énormément de personne du même genre que Mini-MacKenzy, et qu'elle, elle aurait remonté le niveau. J'étais totalement du même avis qu'elle. Tout en souriant, je répondis.
« En effet. Vous auriez remonté considérablement le niveau de Serpentard. Mais je doute qu'une si jolie jeune femme se serait épanouie parmi cette bande de demeurés. »
Une fois de plus, je m'inclinai légèrement à ses côtés, lui pris la main et déposai un doux baiser sur son revers. J'aimais être attentionné avec elle. Non seulement elle était d'agréable compagnie, mais en plus, elle était la descendante d'une longue lignée de Sang-Pur anglais. Bref, elle avait tout pour elle. Nous continuâmes la conversation à propos de mon père. Elle ne le connaissait pas personnellement, mais son oncle lui avait déjà parlé de lui, et en bien. Je trouvais cela très étrange étant donné que je pensais que son oncle étant Sirius Black. Or, ce dernier était recherché par les Aurors et toute la clique du Ministère de la Magie. J'attendis qu'elle continue pour lui répondre quelque chose. Je n'allais pas la mettre mal à l'aise à propos de Sirius Black. Elle ne se fit pas prier et reprit donc et m'expliqua qu'elle avait eu la chance de visiter le Ministère il y avait quelques années. Dire que j'y entrais comme je voulais pour rendre visite à mon père... Elle continua en m'avouant qu'elle y avait appris beaucoup, même si elle n'avait pas pu visiter les services de fonds en combles.
« Oui en effet, il est toujours très instructif de visiter le Ministère avec un quelqu'un d'intégré dans le milieu. Je l'ai bien vu avec mon père : je vais avec lui à son travail depuis tout petit, de temps en temps pendant les vacances, j'apprends toujours de nouvelles choses. »
Elle continua alors sur son oncle, qui était plutôt un « oncle éloigné ». Je faillis ouvrir la bouche en un grand « O » quand elle m'avoua qu'il s'agissait de Lucius Malefoy. Lucius Maalefoy... il s'agissait du père d'un de mes pires ennemis, Drago Malefoy. Cela voulait dire qu'ils étaient cousins éloignés. Argh. Après un léger malaise, je me dis que finalement, ça ne pouvait pas être plus mal. Après tout, elle pourrait me dire des choses sur la fouine. Et puis l'avoir dans mon camp calmerait peut-être son cousin, du coup. L'espace d'un instant, l'étonnement avait dû se lire sur mon visage. Enfin, ce n'était pas une catastrophe non plus. Je repris mon air charmeur et si poli.
« Oui, je connais bien Lucius Malefoy... ou plutôt, de nom, via mon père. Cela m'étonne d'ailleurs qu'il en aie dit du bien. Ils ne se supportent pas. Un peu comme moi et votre heu... Cousin, je suppose ? Il a tendance à se prendre de haut et à se croire supérieur à moi. Certes, je ne doute point de sa grandeur mais... je trouve qu'il me doit le respect. C'est mon éducation nippone qui veut cela. J'espère que vous ne m'en voulez pas. »
Je n'avais pas totalement menti. Certes, je détestais Malefouine. Il m'énervait au plus haut point, de par son air hautain et dégoûté de tout ce qu'il voyait -nés-moldus, Gryffondor, Poufsouffle, Serdaigle, elfes, enseignants, moi- mais ce qui me mettait aussi et surtout en rogne, c'était le fait qu'il ne me respecte pas, alors que j'étais son aîné. Qui plus est, j'étais meilleur que lui dans diverses matières. Et pour terminer, il croyait qu'en étant Préfet-en-Chef, il pouvait me donner une retenue pour n'importe quelle raison. Heureusement que Maxi-MacKenzy avait croisé notre route ce jour-là. Sans elle -même si je me serais bien défendu tout seul- Malefoy aurait certainement mis ses menaces à excécutions.
Et vous ?
► Où avez-vous connu le forum ? C'moi la fondatrice, so... ► Âge : 23 et j'ai toutes mes dents. ► Niveau RP : Boarf... 6 à 7 / 10 ? J'suis nulle en auto-évaluation.