Né d’une mère française, qu’il ne connu que très peu, et d’un père anglais, Sylvius n’a eu de réels contact avec la société des sorciers qu’à partir du moment où sa mère est tombée malade lorsqu’il avait dix ans. Une maladie magique qui les força à quitter leur maison aux abords de la forêt appelée Brocéliande dans laquelle ses parents menaient des recherches. Ils s’installèrent dans la banlieue de Londres pour facilité les visites à l’hôpital Sainte Mangouste. Il n’eut donc pas l’occasion de conserver ses amis Moldus de Bretagne et ne se fit jamais à la vie londonienne.

Sylvius étant un enfant fort taiseux, et fort investi dans son étude, il n’a pas beaucoup fait parler de lui pendant ses études. Et ne s’est lié qu’avec quelques personnes. On peut tout de même noter ses rapports excellents avec ces professeurs qu’il a toujours essayé de contenter au maximum. Ce sont ces liens particuliers qui lui ont permis de revenir à Poudlard en tant qu’enseignant.

Ses contacts se sont surtout fait dans sa vie professionnelle dans le Département des Mystères que ses notes excellentes et la spécificité de sa magie lui avait permis d’intégrer après un parcours éreintant. S’il a bien des liens au sein du ministère, ils ne sont pas vraiment d’une grande importance pour ceux qui ont survécu au retour de Lord Voldemort. C’est donc principalement des collègues. Il entretient désormais de bons rapports avec les autres professeurs bien qu’il soit relativement froid et fermé. On ne lui trouve pas particulièrement d’ami, si ce n’est le professeur Chourave qui l’avait eu comme élève et avec qui il a toujours eu de par ses aptitudes en botanique une certaine complicité.

Du coté de sa famille, il n’y a pas grand-chose à dire. Il a une tante un peu marginale, célibataire, qui étudie la faune magique de l’Oural et il ne lui reste qu’un grand-père un peu détraqué lui aussi, qui passe son temps à faire de la sorcellerie expérimental dans son manoir du coté de Leeds, en Angleterre.